La présence parentale est importante auprès d’un enfant qui souffre

Pour un enfant qui souffre, qu’il soit hospitalisé ou alité chez lui, la présence parentale est primordiale sur son chemin vers la guérison.

Comment aider un enfant qui souffre ?

Selon son âge, la difficulté pour un enfant qui souffre est d’arriver à prendre son mal en patience et renoncer aux jeux auxquels il était habitué avant de tomber malade.
A la souffrance va s’ajouter la privation de mouvements, courir, sauter et tout ce qu’un enfant aime faire sans rester immobile. Il s’agit d’une sorte de double peine.

Pour aider à supporter l’immobilisme et la souffrance d’un enfant qui souffre on agira en fonction de son âge et de ses goûts.
Les plus petits seront consolés par des jeux, peluches, collages et coloriages. Il existe foison d’accessoires dont ils raffolent et que l’on peut se procurer à moindre coût.

Les plus grands pourront s’occuper avec une console informatique, tablette ou smartphone. Amateurs de lecture, les bibliothèques sont remplies d’ouvrages disponibles pour tous les âges. Puzzles et jeux de constructions et maquettes feront plus d’un heureux immobilisé.

Demeurer au chevet d’un enfant qui souffre

Pour les parents il est très important de pouvoir assister un enfant qui souffre en demeurant le plus possible à son chevet. Le réconforter, le rassurer et le faire rire sont des tâches qui doivent être traitées en continue. Le but étant de lui faire oublier l’état dans lequel l’enfant se trouve.

A cet égard, le rire est un vrai médicament recommandé à tout moment. Faire rire un enfant qui souffre c’est mieux que de lui faire ingurgiter des médicaments.

Le parent qui travaille n’hésitera pas à poser une demande de congé pour présence parentale. Ce type de congé lui permettra de s’occuper de son enfant sans être trop pénalisé par une absence au travail tout en percevant des indemnités spécifiques à cette situation.